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Si pourquoipourquoi pas ?

19 juillet 2007

égouttelées, déferlées, ou envolées les vagues de l'âme ?..

la parabole de l'océan, par Stanislas Grof...

"La conscience universelle est souvent compararée à l'océan: une masse fluide, indifférenciée, et la première phase de la création correspondrait à la formation de vagues.
Une vague peut être considérée comme une entité individuelle, et pourtant il est évident que la vague est l'océan, et l'océan la vague. Il n'y a pas de séparation ultime.

La phase suivante de la création serait une vague se brisant sur les rochers et vaporisant l'air de goutelettes d'eau, qui existeront en tant qu'entités individuelles pendant une courte période, avant d'être à nouveau avalées par l'océan. Ainsi, nous avons là des moments fugitifs d'existence séparée.

Mais imaginons maintenant de l'eau qui s'évapore et forme un nuage. Maintenant, l'unité originelle est obscurcie et cachée par une véritable transformation, et il est nécéssaire d'avoir une certaine connaissance en physique pour se rendre compte que ce nuage est l'océan, et l'océan le nuage. Pourtant, à la fin, l'eau du nuage va se réunir avec celle de l'océan sous forme de pluie.

La séparation finale, où le lien avec la source originelle apparait complètement oublié, est souvent illustrée par un flocon de neige qui s'est cristalisé à partir de l'eau du nuage qui, à l'origine, s'était évaporé de l'océan. On a là une entité très structurée, très individuelle et séparée qui ne comporte, en apparence, aucune ressemblance avec sa source. Maintenant, on a vraiment besoin d'un savoir sophistiqué pour reconnaître que le flocon de neige est l'océan, et l'océan le flocon de neige. Et pour se réunir avec l'océan, le flocon de neige doit abandonner sa tructure et son individualité; il doit subir une mort de l'égo, en quelque sorte, pour retourner à sa source."


Extrait du livre de Fritjof Capra, "La Sagesse des Sages"

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18 juillet 2007

Je veux vivre !!!

 

Pour qu'ici, là-bas, demain ou maintenant

Je prenne tranquillement le temps

De rire, de chanter, de causer tout simplement

Pour savourer rien qu' un instant un bon moment...

Est il besoin que je le désire,

Ou bien faut il qu'il soit téléguidé ?

Dois-je attrapper, comme la majorité,

Au vol le droit de penser..

Avec pour apppui, de grossses pièces de monaie ?

Et encore et toujours me tenir sur mes gardes

Faire attention à ce que pense la nation :

Suprême, elle sait le monde et me regarde

Elle dit, par médiatisations, qu' en son sein siège la raison..

Dois-je tomber dans le puits sans fond

de toutes les tergimalversations

M'enduire de faux semblants

tout en sombrant doucement

Oublier que je veux vivre en toute liberté...

Choisir d'optempérer ....

.....ou bien me rebeller ?

Je crois que je sais maintenant un peu nager

Et je ne veux pas me noyer.

J'aime à manger et à me passionner,

à écouter à sentir à chanter,

à partager à déguster et à crier

j'en oublie mais j'ai toute ma vie

A cela je ne veux rien changer......

Alors j'éteindrais donc la télé !

Pour me laissée voguer

sur la rivière que je me suis inventée,

pour traverser toute l'humanité

Même si ça doit me prendre l'éternité..

Anne

17 juillet 2007

ode à l'humanité

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Aujourd'hui tout bien pesé

Je refuse cette société

Sans même un brun de pitié

Qui fabrique les oprimés

Ce n'est pas l'argent

Qui rend l'homme plus tolérent

Ce n'est pas la jalousie

Qui rend l'monde plus joli

Alors pourquoi pas se décoller

De tous ces gros oreillers

Plus ou moins rembourés

De routines essoufflées

Pour laisser de la place

Dans toute cette masse

A tout un chacun

A de vrais lendemains

Qu'on puisse respirer

Et enfin partager

Ce que l'humanité

Possède et a semé...

Anne,

un jour de 2006

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